Alexandre Vigot passe son enfance dans les montagnes du massif central. Il débute en 2015 l’écriture d’une histoire photographique sur cette période : Je ne me souviens pas de mon enfance.

Alexandre réalise des missions régulières en Afrique, pour des programmes d’aide alimentaire de différentes ONG.
Il s’interroge sur ce qui le pousse à partir, puis à revenir en Afrique. 
Les premières années, c’est l’attrait du voyage qui lui fait quitter sa région natale pour une terre lointaine fantasmée. Mais l’exotisme du voyage laisse très vite la place au réalisme des rencontres. Loin des villes et des zones touristiques, Alexandre apprend beaucoup des personnes qu’il côtoie et dont la force de vie l’impressionne. Il découvre également une Afrique mystique qu’il ne fait encore qu’appréhender. 
Le récit photographique commence en 2016 et couvre, sur une période de cinq années, une dizaine de pays.
Sous le masque sacré raconte cette histoire. 

 

De retour en Auvergne à partir de 2021, il ouvre à la Chaise-Dieu son atelier galerie Phoebus en 2022.